1. |
Pas de tige. Les touches reposent librement. C'est la manière la plus simple d'improviser un tel instrument. On peut le considérer comme une forme primitive de xylophones africains et sud-est asiatiques. Un métallopone de ce type se trouve dans l'ensemble piphat de Thaïlande. Ses touches sont tenues en place par les rebords supérieurs de l'instrument. |
|
2. |
Les touches sont à peine tenues en place mais des xylophones de ce genre peuvent se trouver parfois en divers endroits d'Afrique et d'Asie du Sud-Est. |
|
3. |
Plus courant. Particulièrement fréquent pour le gambang. |
|
4. |
Configuration la plus fréquente pour le saron / gangsa jongkok. La plus sûre des quatre. |
Dans les configurations 3 et 4, il faut percer des trous au travers de la touche. Pour perturber aussi peu que possible la vibration de la touche, Les trous doivent ne doivent pas être situés en dehors de ses nœuds acoustiques. |